« Cette année, ma mère a fait un infarctus et mon père est tombé dans un hall d’hôtel. J’ai commencé à devenir un habitué des hôpitaux parisiens. En revenant de la clinique, Romy est entrée dans la cuisine avec un sourcil plus haut que l’autre. – Papa, si je comprends bien, tout le monde meurt ? Il va y avoir grand-père et grand-mère, puis ce sera maman, toi, moi, les animaux, les arbres et les fleurs ? Romy me regardait fixement comme si j’étais Dieu.
Elle ajouta alors une phrase très aimable : – Papa, je n’ai pas envie que tu meures… – Ne t’inquiète pas chérie, lui ai-je répondu, à partir de maintenant, plus personne ne meurt. Il ne me restait plus qu’à tenir cette promesse inconsidérée ». Palpitant. Si on cherche une lecture qui change de tout, alors il faut choisir celle-ci. Le Parisien. Comme toujours, Frédéric Beigbeder sait parfaitement saisir les sujets d’époque.
Transfuge. Un roman d’amour audacieux entre obsession et espoir. Marie Claire.
"Cette année, ma mère a fait un infarctus et mon père est tombé dans un hall d'hôtel. J'ai commencé à devenir un habitué des hôpitaux parisiens. En revenant de la clinique, Romy est entrée dans la cuisine avec un sourcil plus haut que l'autre. - Papa, si je comprends bien, tout le monde meurt ? Il va y avoir grand-père et grand-mère, puis ce sera maman, toi, moi, les animaux, les arbres et les fleurs ? Romy me regardait fixement comme si j'étais Dieu.
Elle ajouta alors une phrase très aimable : - Papa, je n'ai pas envie que tu meures... - Ne t'inquiète pas chérie, lui ai-je répondu, à partir de maintenant, plus personne ne meurt. Il ne me restait plus qu'à tenir cette promesse inconsidérée". Palpitant. Si on cherche une lecture qui change de tout, alors il faut choisir celle-ci. Le Parisien. Comme toujours, Frédéric Beigbeder sait parfaitement saisir les sujets d'époque.
Transfuge. Un roman d'amour audacieux entre obsession et espoir. Marie Claire.
Une vie sans finUne vie sans fin
Frédéric Beigbeder est un critique littéraire, éditeur et écrivain français. Le style d’écriture de Frédéric Beigbeder obéit aux codes du dandysme maniant l’humour et l’autodérision.
En 1990, âgé de 24 ans, il publie son premier roman, "Mémoires d'un jeune homme dérangé".
En 1994 paraît son deuxième roman, "Vacances dans le coma", puis en 1997 "L'amour dure trois ans", qui clôt la trilogie de Marc Marronnier.
Suit un recueil de nouvelles chez Gallimard en 1999, "Nouvelles sous ecstasy".
L'année suivante, Beigbeder est licencié pour faute grave de chez Young & Rubicam peu après la parution de son roman satirique "99 francs", qui épingle les travers de la publicité. Ce roman a été adapté au cinéma par Jan Kounen en 2007.
Frédéric Beigbeder anime les sections parallèles dans le Grand Journal de Cannes en 2008. Il y présente ses coups de cœur cinématographiques.
Il fonde le Prix de Flore en 1994 et préside son jury depuis lors. Il créé également le Prix Sade en 2001 avec Lionel Aracil et siège dans le jury du Prix Décembre.
Il a obtenu en 2003 le prix Interallié pour "Windows on the World" et en 2009, le prix Renaudot pour son livre "Un roman français".
Maximilien Vogue, homme d’affaires puissant et charismatique, ne manque pas d’assurance.
Il est même l’archétype du lion rugissant au caractère bien trempé, prompt à vouloir tout diriger et contrôler. C’est typiquement pour ce profil d’hommes et de femmes que Romane Gardener, piquante trentenaire, a créé son programme de relooking intégral de mentalité. Réveiller la sensibilité, l’écoute et la bienveillance chez ses clients, amener un peu de douceur et d’humanité dans ce monde de brutes, voilà ce qui l’anime ! Lui, si fier, elle, si passionnée… La rencontre entre Maximilien et Romane ne va pas être de tout repos. Une chose est sûre : elle va avoir du fil à retordre… pour son plus grand bonheur !
Oleyn est une île sacrée, centre d’une civilisation brillante et époustouflante, à la technologie inégalée. À son apogée, cette puissante nation va disparaître.
Plus de trois mille ans vont s’écouler, les raisons de cet effondrement sombrant dans l’oubli. L’immensité de la planète Jaëhria, berceau de ce peuple disparu, n’abrite plus désormais que quelques dizaines de milliers d’âmes.
Dǽlron a grandi au cœur des vestiges d’Oleyn. Il y a découvert, gravés sur d’antiques ruines, des inscriptions qu’il ne peut comprendre. Fasciné par ce mystérieux legs des ancêtres, il va parcourir trois océans et la moitié de la planète pour tenter d’en découvrir le sens, jusqu’à rencontrer la mystérieuse et renommée Dépositaire.
Ephémères : Tome 1 – Aardhen Ephémères : Tome 1 – Aardhen
Dans cette société technologique, Chance Robinson est une non-implantée, c’est-à-dire une incompétente, une fille sans avenir. Mais son anomalie lui permet de franchir les limites de la Zone Interdite sans être détectée par les machines.
Dans les souterrains décrépits où personne ne va jamais, commence alors une aventure dont elle se serait bien passée.
– » Vous souffrez probablement d’une forme de routinite aiguë.
– Une quoi ? «
Camille, trente-huit ans et quart, a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Alors pourquoi a-t-elle l’impression que le bonheur lui a glissé entre les doigts ? Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver le chemin de la joie et de l’épanouissement. Quand Claude, routinologue, lui propose un accompagnement original pour l’y aider, elle n’hésite pas longtemps : elle fonce et repart à la conquête de ses rêves…
Un phénomène inexplicable touche les femmes sur toute la planète : une sorte de cocon les enveloppe durant leur sommeil, et si l’on tente de les réveiller, on prend le risque de les transformer en véritables furies. Bientôt, presque toutes sont touchées par la fièvre Aurora, et le monde est livré à la violence masculine. A Dooling, petite ville des Appalaches, la mystérieuse Evie semble immunisée contre cette épidémie.
Cas d’étude pour la science ou créature démoniaque, échappera-t-elle à la fureur des hommes privés soudainement de femmes ? Le surnaturel se mêle subtilement au réalisme, aussi bien psychologique que social. Du très bon (double) King. Hubert Artus, Lire. La puissance de Stephen King, l’ironie et l’humour vivifiant de son fils. Cécile Mury, Télérama. Plus qu’un plaidoyer féministe et une défense du droit des femmes.
C’est une apologie lyrique et mystique de la féminité. François Angelier, Le Monde. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Jean Esch.