À la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a adoptées aux quatre coins du monde lorsqu’elles étaient bébés, Maia d’Aplièse et ses soeurs se retrouvent dans la maison de leur enfance, Atlantis, un magnifique château sur les bords du lac de Genève. Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leurs origines. La piste de Maia la conduit au-delà des océans, dans un manoir en ruines sur les collines de Rio de Janeiro, au Brésil. C’est là que son histoire a commencé.
Dans ce récit épique qui mêle amour et tragédie, premier volet d’une série de sept volumes inspirée des légendes de la constellation des Sept Soeurs, Lucinda Riley prouve comme jamais son merveilleux talent de conteur.
À la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a adoptées aux quatre coins du monde lorsqu'elles étaient bébés, Maia d'Aplièse et ses soeurs se retrouvent dans la maison de leur enfance, Atlantis, un magnifique château sur les bords du lac de Genève. Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leurs origines. La piste de Maia la conduit au-delà des océans, dans un manoir en ruines sur les collines de Rio de Janeiro, au Brésil. C'est là que son histoire a commencé.
Dans ce récit épique qui mêle amour et tragédie, premier volet d'une série de sept volumes inspirée des légendes de la constellation des Sept Soeurs, Lucinda Riley prouve comme jamais son merveilleux talent de conteur.
Plutôt prolifique, Lucinda Riley, qui a longtemps signé Lucinda Edmonds : sa bibliographie comporte pas moins de 13 romans. Dès son premier livre, Lovers and players, paru au Royaume-Uni alors qu'elle n'avait que 23 ans, elle avait vendu 500 000 exemplaires. La Maison de l'orchidée, le premier sous le nom de Riley, avait été sélectionné en 2011 par la Richard and Judy Book club et s'est vendu à deux millions d'exemplaires, dans le monde entier.
Ses ouvrages arrivent régulièrement en tête des listes de best-sellers en Europe. En ce moment, par exemple, Das Engelsbaum (The Angel tree, pas encore traduit en français) est en 7ème position en Allemagne.
Au moment où elle publie Maia, premier opus d'une série intitulée Les Sept sours, Lucinda Riley rejoint la maison d'édition Charleston. Une maison qui a deux ans d'existence et dont la jeune directrice, Karine Bailly, résume ainsi la ligne éditoriale : « Des histoires de femmes, pour les femmes. Mais de qualité. » Comme les romans de Lucinda Riley : grand public, certes, mais loin du roman de gare.
La Britannique déroule les fils de ses énigmes avec maestria. Dans ses pages, de l'amour, des rivalités. Et on y voyage beaucoup : cette fois, ce sera le Brésil et Paris de la Belle Époque, au moment où l'on construisait la gigantesque statue du Christ de Rio de Janeiro.
L'écrivain nous invite à partager la quête d'identité d'une jeune femme, Maia, alors qu'elle retrouve ses sours, à la mort de leur père. Ce dernier, un homme aimant mais demeuré mystérieux, les a adoptées aux quatre coins du monde. Et leur a laissé, en héritage, des indices qui les aideront à comprendre qui elles sont.
Un phénomène inexplicable touche les femmes sur toute la planète : une sorte de cocon les enveloppe durant leur sommeil, et si l’on tente de les réveiller, on prend le risque de les transformer en véritables furies. Bientôt, presque toutes sont touchées par la fièvre Aurora, et le monde est livré à la violence masculine. A Dooling, petite ville des Appalaches, la mystérieuse Evie semble immunisée contre cette épidémie.
Cas d’étude pour la science ou créature démoniaque, échappera-t-elle à la fureur des hommes privés soudainement de femmes ? Le surnaturel se mêle subtilement au réalisme, aussi bien psychologique que social. Du très bon (double) King. Hubert Artus, Lire. La puissance de Stephen King, l’ironie et l’humour vivifiant de son fils. Cécile Mury, Télérama. Plus qu’un plaidoyer féministe et une défense du droit des femmes.
C’est une apologie lyrique et mystique de la féminité. François Angelier, Le Monde. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Jean Esch.
Ludwik et Grazyna ont à nouveau trente ans. Après une rencontre dévorante, plus rien ne peut les séparer. Ou presque. Car les jeunes amoureux ont également l’expérience d’une vie commune longue d’un demi-siècle. Jusqu’à hier, ils vivaient en 2013 et approchaient les quatre-vingts ans. Or, pour des raisons obscures, le lendemain du 50e anniversaire de leur rencontre, le couple se réveille en 1963, jeune et beau, avec en prime les souvenirs de leur passé.
Cependant la Pologne dans laquelle ils se trouvent n’est plus celle qu’ils ont connue. La Seconde Guerre mondiale est certes passée par là, mais leur patrie a désormais entamé une union de force… avec la France ! Bien décidés à ne pas tomber dans la routine et commettre les mêmes erreurs, Ludwik et Grazyna s’ouvrent à des aventures nouvelles. Mais leur amour résistera-t-il à cette seconde vie ?
« Cette année, ma mère a fait un infarctus et mon père est tombé dans un hall d’hôtel. J’ai commencé à devenir un habitué des hôpitaux parisiens. En revenant de la clinique, Romy est entrée dans la cuisine avec un sourcil plus haut que l’autre. – Papa, si je comprends bien, tout le monde meurt ? Il va y avoir grand-père et grand-mère, puis ce sera maman, toi, moi, les animaux, les arbres et les fleurs ? Romy me regardait fixement comme si j’étais Dieu.
Elle ajouta alors une phrase très aimable : – Papa, je n’ai pas envie que tu meures… – Ne t’inquiète pas chérie, lui ai-je répondu, à partir de maintenant, plus personne ne meurt. Il ne me restait plus qu’à tenir cette promesse inconsidérée ». Palpitant. Si on cherche une lecture qui change de tout, alors il faut choisir celle-ci. Le Parisien. Comme toujours, Frédéric Beigbeder sait parfaitement saisir les sujets d’époque.
Transfuge. Un roman d’amour audacieux entre obsession et espoir. Marie Claire.
Lisa et Arthur n’ont rendez-vous qu’une fois par an.
Il passe sa vie à la chercher…
… elle passe la sienne à l’attendre.
Lisa rêve de devenir comédienne. Pour payer ses études d’art dramatique, elle travaille dans un bar de Manhattan. Un soir, elle fait la connaissance d’Arthur Costello, un jeune médecin urgentiste. Leur complicité est immédiate.
Pour le séduire, Lisa est prête à tout. Dans une ville-labyrinthe qui n’offre aucun répit, elle prend tous les risques. Mais Arthur n’est pas un homme comme les autres. Bientôt, il révèle à Lisa la terrible vérité qui lui interdit de l’aimer :
« Ce qui m’arrive est inimaginable, et pourtant bien réel… »
Dans un New York plus imprévisible que jamais, Arthur et Lisa vont lier leur destin pour déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps.
Un thriller psychologique vertigineux
au final stupéfiant.
Voici près d’un siècle, dans d’étourdissantes visions, Aldous Huxley imagine une civilisation future jusque dans ses rouages les plus surprenants : un État Mondial, parfaitement hiérarchisé, a cantonné les derniers humains » sauvages » dans des réserves. La culture in vitro des fœtus a engendré le règne des » Alphas « , génétiquement déterminés à être l’élite dirigeante. Les castes inférieures, elles, sont conditionnées pour se satisfaire pleinement de leur sort. Dans cette société où le bonheur est loi, famille, monogamie, sentiments sont bannis. Le meilleur des mondes est possible. Aujourd’hui, il nous paraît même familier…