Isabelle Lagarrigue a eu trente ans il y a déjà quelques années. Après son diplôme de Neoma Rouen et un passage à l’université au Mexique, elle a travaillé dans l’univers de la communication et la stratégie de marque dans de grandes entreprises françaises puis dans l’écosystème des startups.
Elle a écrit son premier poème à sept ans sous son casque sèche–cheveux (il était question de renards et de vin blanc…), puis elle a tenu (très) longtemps un journal intime. A l’adolescence, le facteur était la personne la plus importante de sa vie, puisque grâce à lui elle entretenait des relations épistolaires amicales, platoniques ou enflammées « dépêche–toi, petit facteur car l’amour n’attend pas ».
Ses premières chroniques à l’adolescence étaient rédigées sous forme de fiches avec deux rubriques phares : « comment j’aurais préféré que ce livre se termine » et « le personnage que je n’aimerais pas être dans la vraie vie ».
Isabelle Lagarrigue assouvi pendant des années sa passion pour l’écriture le jour à travers la communication et sa passion pour la lecture la nuit.
Il y a cinq ans, elle a re–commencé à écrire des histoires dont son premier roman « C’était un accident ».